Avec ses paysages fabuleux, ses légendes et ses chateaux l’Écosse est une terre de prédilection pour les cinéastes… On peut citer pêle-mêle : Braveheart de et avec Mel Gibson, couronné de 5 oscars, qui retrace l’histoire de William Wallace symbole de l’indépendance écossaise; Skyfall où 007 retourne à ses origines écossaise, avec de magnifiques scènes tournées dans la vallée de Glencoe; Highlander, film culte des années 80 avec Christophe Lambert (que je n’ai jamais vu); Harry Potter et le fameux train à vapeur de Glenfinan; mais aussi Monty Python : Sacré Graal !, Mission Impossible, La Guerre du Feu de Jean-Jacques Annaud, Greystoke (encore Christophe Lambert), Les 39 Marches d’Alfred Hitchcock, Trainspotting d’après le roman éponyme d’Irving Welsh…
Celui que j’ai retenu ici fait parti de ces films qui vous happent et vous fascinent dès les premières secondes et dont on ne peut se décoller jusqu’à la dernière image (et pourtant il est long : 2h30 !). Dans un petit village du nord de l’Écosse, au début des années 70, Bess, jeune fille pieuse et un peu simplette, tombe follement amoureuse de Jan, plus âgé, qu’elle épouse contre la volonté de la communauté de son village. Un accident sur la plateforme pétrolière où il travaille paralyse Jan. Bess va alors s’offrir entièrement par amour…
Sorti en 1996 et récompensé à Cannes par le Grand Prix du Jury, Breaking the Waves du toujours très controversé Lars Von Trier est un film éprouvant, émouvant, fascinant, jamais larmoyant ! Une merveille !