Partira ? Partira pas ? Le volcan islandais Eyjafjöll est en train de cracher ses poumons et envoie ses cendres sur le sud de l’Europe ! La veille de notre départ, les aéroports de la côte atlantique espagnole sont fermés, puis le panache entre dans les terres… L’aéroport de Barcelone est même fermé quelques heures…
Finalement, hop tout le monde dans l’avion à l’heure dite… Destination le pays des tapas et des poivrons, olé !
Nous sommes déjà venu à Barcelone, c’était en mars 2006. Cette fois-ci nous ne sommes pas seul : Doune et Corbier nous accompagnent. Doune nous avait dit, il y a quelques temps, rêver de voir Barcelone ; ça n’était pas tombé dans l’oreille d’un cul-de-jatte. Un anniversaire plus tard nous arrivons à l’hôtel U232.
Métro Hospital Clinic, entre le-dit et face à la faculté de médecine (nous pourrons toujours faire une indigestion d’Ibérico Pernil), l’hôtel est très cosy, de belles chambres décorées avec goût, et très calmes, nos fenêtres donnent sur une cour intérieure qui n’apporte aucune lumière ; au moins il fera sombre pour dormir.
Le temps de vider nos sacs et zou, à l’assaut de la ville. Pour commencer, les Champs-Elysées Barcelonais : la Rambla ; Plaça de Catalunya direction Port Vell. Fidèle à elle même, la Rambla est noire de monde. Tout du long les commerces changent : d’abord celui des fleurs et des animaux, viennent ensuite les statues vivantes et pour finir les peintres et les caricaturistes.
Au bout de la Rambla, la statue de Colomb, les bâtiments des douanes et bientôt le Port Vell. Nous nous attablons en terrasse pour gouter quelques tapas et bières locales mais le temps n’est pas de la partie. Lorsqu’il se met à pleuvoir nous entrons dans Mare Magnum, le centre commercial.
Chaussures, barboteuse, tee-shirt, sacs, quelques essayages plus tard la pluie n’a pas cessé. Nous l’affrontons jusqu’au métro et rentrons à l’hôtel.
En sortant du métro, une trattoria typiquement barcelonaise fait sa mise en place. C’est là que nous déciderons de revenir diner, et très bien d’ailleurs.