Départ pour Lisbonne via Sétubal – Personne sur l’autoroute en une heure nous sommes à Setubal – Jolies ruelles, places ombragées (enfin !) – Igreja de Jesus : fermée, c’est l’heure de déjeuner, nous ne verrons pas ses piliers torsadés
Ruelles engorgées d’échoppes proposant des poissons grillés : tables d’un coté, barbecue de l’autre… nous déjeunons dans l’une d’elles.
Dernière ligne droite avant Lisbonne – Ponte Vasco de Gama : vue sur Lisbonne et ses collines, noyées dans la brume.
Décidons de rendre la voiture tout de suite à l’aéroport, comme prévu, et de prendre un taxi pour nous conduire à l’hôtel ce qui s’avèrera être une bonne idée vu la complexité de la ville…
Le chauffeur nous arnaque sur le tarif mais nous préférons jouer les « touristes » et nous écraser plutôt que de tenter une explication en luso-anglais qui ne mènerait sans doute nulle part.
Pensão Anjo Azul : petite chambre en L, photos de Maui au mur, rideaux Habitat, tuyau de douche déglingué, vue sur la buanderie… – Nous vidons les sacs : tout sur des cintres, il n’y a pas d’étagères ; une douche et partons à la découverte de la ville.
Lisbonne foisonne ! Tout se mêle, s’entrelace, se frotte : une ruelle calme côtoie une esplanade fourmillante, un tramway hors d’âge cahote autour d’une station de métro, une façade gothique dissimule un hall de gare au design ultra-moderne.
Grappes de touristes, vendeurs de hash à la sauvette, hommes en cravate partant prendre le bac : Lisbonne est belle et vivante ! Surtout après Evora…
Nos plans de ville ne sont pas assez détaillés : nous allons à l’Office du Tourisme pour nous en procurer des « officiels ».