
Denis
Il est assis, face au bar avec deux ou trois amis. Son sourire est immense et lumineux. Ses yeux gris clairs pétillent de malice. Ses
Il est assis, face au bar avec deux ou trois amis. Son sourire est immense et lumineux. Ses yeux gris clairs pétillent de malice. Ses
Des années que je rêvais de visiter la Villa Cavrois ! La faute à qui ? À Pierre ! L’ami Pierre chez qui justement nous
C’est la plus méridionale des îles Ioniennes, à moins de quinze kilomètres des côtes du Péloponnèse, que nous avons choisie pour la partie balnéaire de
Nous fuyons Founikounda, ses familles, ses bars, son charme racoleur, entre les collines de la Messinie couvertes de garrigue au parfum de fenouil sauvage. Viennent
La route qui nous mène de Vytina à Olympie est absolument grandiose et offre une physionomie changeante où les essences d’arbres se mélangent pour créer
Nous avons laissé la fournaise d’Athènes et la bonne humeur d’Hélène, pour nous réfugier en montagne, à Vytina. Ce premier arrêt dans le Péloponnèse va
Été 1983. J’ai onze ans. En septembre je ferai mon entrée au collège. J’ai choisi comme matière optionnelle Grec Ancien. Mon intérêt pour l’antiquité, les
Ce premier vendredi de mars il ne pleut pas et pourtant le temps pourrait facilement être qualifié de pourri ! Le ciel plombé ne laisse
Confinés. Déconfinés. Calfautrés. À 22h, à 20h. Re-confinés. Re-déconfinés. Re-calfeutrés. À 18h. Re-re-confinés ? Peut-être. Peut-être pas… Quelle année étrange. Outre les privations que la
Voilà vingt ans que j’habite le 20e arrondissement de Paris. Un bel ensemble d’immeubles en brique au porche en mosaïque classé, trois pièces, cinquante cinq mètres carrés, entre Gambetta et Ménilmontant, un logement des plus bath, avec une vue à couper le souffle. Et sans l’avoir vraiment choisi…
Comme bon nombre de lycéens de ma génération The Doors faisait parti des groupes symbolisant la liberté des années soixante, nous offrant une musique envoutante et indémodable. Le beau visage de Jim Morrison encadré de longs cheveux blonds côtoyait dans mon panthéon germanopratin ceux de Juliette Greco, Simone de Beauvoir, Miles Davis ou encore Boris Vian.
C’est finalement là, à Andlau, que notre route du vin débute réellement. Non pas que nous ayons décidé d’écluser toutes les caves jusqu’à Colmar mais plutôt parce que les paysages que nous traversons sont ceux que nous avons en tête : vallonés, couverts de vignes aux belles-teintes vertes et jaunes, où fleurissent de petits villages aux maisons colorées groupées autour d’un cloché pointu… L’Alsace telle qu’on l’imagine !
Tout avait pourtant bien commencé… Nous étions retournés dans le quartier de la Petite France déserté par les touristes mais inondé de soleil pour faire quelques dernières photos avant de récupérer notre voiture de location aux abords de la gare de Strasbourg, et de tailler la route.
Ah Strasbourg ! Sa cathédrale, ses canaux, sa Petite France, son Parlement, ses winstubs, ses records de température en été et ceux d’incendies de voitures
« Arrête de bouger ! Mamie essaye de te mettre les doigts là où il faut ! »
Si je ne m’étais pas retourné pour voir quelle situation avait bien pu provoquer cette phrase mon esprit malin aurait pu imaginer le pire des scénarios… Tout de même ! A quelques pas de l’abbaye, à La Chaise-Dieu !
Samoëns. 1700 habitants à l’année, le double pendant les vacances scolaires. En 2001 je n’avais jamais entendu parler de cette bourgade de moyenne montagne perchée à 700 mètres d’altitude ; ça n’est pas bien haut pour une station de ski.
Beyrouth a sans doute encore beaucoup à nous offrir mais nous n’avons plus beaucoup de temps… Une petite matinée à consacrer à la découverte ensuite il faudra reprendre le chemin de l’aéroport et bientôt Paris dans le gris.
Manger local fait partie des plaisirs du voyage ! Certes, mais… Au petit-déjeuner j’évite tout de même de m’aventurer trop loin
Au départ d’Hamra ce matin, ce que nous avions aperçu la veille se confirme ; nous traversons des quartiers où de nouveau tout se mêle
Tout a commencé comme ça. Ou plutôt non ! Tout a commencé dix jours plus tôt lorsque Jean-Claude m’a dit :
– Tu peux prendre ton vendredi et ton lundi ?
Si pour la plupart des gens le nom de cette petite ville du nord n’évoque absolument rien, pour moi elle résonne comme une promesse. La promesse d’une rencontre avec un monument.
Quatrième visite de la journée ! On aura optimisé le temps ! Un village médiéval classé parmi les Plus Beaux Villages de France : Castelnou, un site géologique grandiose : les orgues d’Ille-sur-Tet
Vous connaissez The Cloisters ? Mais non ça n’est pas la nouvelle série Netflix mettant en scène un moine possédé perpétuant des meurtres au sein d’une communauté monastique ! C’est un musée !
Si la ville d’Ille-sur-Têt est connue ça n’est sans doute pas dû à Prosper Mérimée et à sa nouvelle La Vénus d’Ille mais plus vraisemblablement grâce à ses orgues. Celles-ci ne produisent aucun son. Ne sont pas composées de tuyaux d’étain mais de roches sableuses et d’argile.
En 1982, Charles Ceyrac, alors maire de Collonges-la-Rouge (Corrèze), décide de créer l’association des Plus Beaux Villages de France. Son but ? « Protéger et promouvoir le patrimoine remarquable de (ces) communes d’exception et leur offrir ainsi une alternative à la désertification rurale. »
Il est encore un peu tôt pour dîner à Cadaqués mais peut-être déjà un peu tard pour rentrer dîner dans notre petit gîte de Vivès. Nous voulons profiter encore un peu de cette journée espagnole.
Quand on séjourne à Vivès, ou de manière plus générale en Roussillon, l’Espagne n’est pas loin, vraiment pas loin, on peut même dire toute proche.
Il y a des noms de lieux qui font rêver. On ne saurait pas toujours les situer sur une carte mais ce sont des noms qu’on a toujours entendus. Qui créent un imaginaire (parfois complètement faux d’ailleurs). Zanzibar, Pondichéry, Djakarta, Tombouctou, Valparaiso…
La piscine chez les copains aux Angles c’est vraiment chouette, surtout quand il fait plus de 30 degrés… et c’est souvent le cas dans la région l’été ! Mais quand, avec Jean-Claude, une envie de découverte nous prend, rien ne nous arrête !
Pourquoi ne pas prendre le temps ? « Perdre » du temps ? Quelle idée ! On ne perd jamais son temps à en prendre… Louis Ferdinand Cheval, facteur de son état, débutât, en avril 1879, à 43 ans, après avoir buté contre une étrange pierre, la construction d’un « palais », sorti de son imagination.
La semaine dernière un épisode caniculaire s’abattait sur le nord de la France poussant à plus de quarante les températures dans la capitale tandis que ce matin en montant dans la voiture – direction sud – le thermomètre n’affiche que 17 degrés… il faut dire aussi que nous décanillons de bonne heure afin d’éviter les bouchons.
Anne Laure voulait voir un château, un vrai, pas du genre quatre morceaux de cailloux empilés. Alors on est allé à Dunluce. Il est vrai que le site est inspirant ; tout droit sorti d’un film de GoT !
C’est la plus longue étape de notre périple : 260km pour rejoindre Derry (pour les Irlandais, Londonderry pour les autres). Le gps nous prévoit à quinze minutes près, quatre heures de route.
Et de Galway, ils sont arrivés dans le comté du Connemara.
Alors, avant toute chose et parce qu’à un moment ou un autre, nous allons devoir y passer… Oui, Michel, nous avons mis la chanson pour accompagner cette partie du voyage.
Cette journée devait être celle qui nous conduirait aux îles d’Aran. Nous avions étudié les trois îles, leurs attraits, les horaires des traversées au départ de Doolin, convaincus Anne-Laure de monter sur un vélo si besoin…
Nous abandonnons la Castel View House, ses seize américains, ses chiens et Michael – qui à la suite d’une poignée de main énergique se précipite pour nous faire à chacun, en bonus, la bise ; les français ayant séjourné ici lui ont probablement expliqué que c’était la coutume chez nous…
Après une nuit passée au Kellsbay House & Garden, notre deuxième journée irlandaise débute par l’immensité de Inch Strand Beach, sur la péninsule de Dingle. Inch Beach est connue pour ses surfeurs et ses 4X4, les uns sur les rouleaux, les autres parcourant les dunes.
C’est une maison bleue, adossée à la colline…, et… c’est une maison jaune adossée à la colline…, et rouge ! Elles nous sont apparues dans le petit matin, telles que nous les avaient décrites Jean-Claude.
Ce séjour aura décidément été placé sous le signe du soleil ! Les températures baissent un peu plus chaque jour mais le soleil, lui reste au beau fixe. Je tiens à montrer à Jean-Claude un autre édifice qui m’avait enchanté lors de ma première visite : la Gare Centrale.
Est-ce parce qu’un beau et franc soleil m’accompagne cette fois-ci, ou peut-être les façades ont-elles été ravalées depuis ma dernière venue mais j’ai l’impression de découvrir leurs couleurs pour la première fois.
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