31 août 2010
Parga

Aujourd’hui, la voiture va rester sagement à sa place de stationnement…
Nous avons prévu une journée plage.

Le petit déjeuner est un peu plus stylé qu’à Kalambaka. Ici, pas de buffet : on est servi à table, sur la minuscule terrasse de l’hôtel. Bien sûr on perd la notion d’ « illimité » dans les tranches de salami.

Vue la position de l’hôtel, au bord de la route, nous pensions avoir recours aux boules Quiès… Eh bien non, la nuit a été calme et les voitures rares.

Nous avons rendez-vous à 11 heures avec Paulette, afin de visiter sa maison. Elle nous attend pas très loin de l’hôtel, car monter chez elle par l’enchevêtrement de ruelles et d’escaliers de la vieille ville nécessite un guide pour qui ne connaît pas Parga.

Quelques centaines de mètres de ruelles en pente et quelques centaines de marches plus tard, nous arrivons chez elle… Elle n’est pas dans la maison la plus haute, mais le panorama qu’elle offre de la terrasse est saisissant. Il embrasse toute la ville et toute la baie… On dirait qu’elle peut distinguer chaque maison… Dont la terrasse de notre chambre à l’hôtel San Nectarios.

Deux ouzos plus tard (à midi, c’est pas très raisonnable, mais bon c’est les vacances !) nous descendons sur les conseils de Paulette vers la plage de Valtos. Nous nous arrêtons pour déjeuner dans un taverne sur le chemin, face à la mer.

Nous passons une après midi agréable sur la plage, bien sûr comme dans chaque station balnéaire grecque maintenant, équipée à l’italienne… Sunbeds et Umbrella. 6 euros la journée. La belle couleur jaune que nous avions vu en descendant est bien trompeuse… Ce n’est pas du sable fin, mais des petits galets. Un peu douloureux pour les pieds quand on va se baigner !

Pour dîner ce soir, direction Ammoudia à l’embouchure de l’Acheron, le mythologique fleuve des Enfers. En chemin, nous assistons à un superbe coucher de soleil. Nous dînons dans une toute petite taverne au bord de la rivière. Ici pas de menu, c’est le patron qui vient nous dire dans un anglais très rudimentaire ce qu’il peut nous préparer en fonction de la pêche du jour. Calamar, dorades… Pour nous ce sera dorades grillées. Miam miam ! Nous découvrons à cette occasion l’un des rares légumes verts cuisinés en Grèce : la Korta ; entre épinards et feuilles de blettes… pas mal du tout !

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